Le projet
La Ferme Angevine, magasin de producteurs existant depuis plus de 25 ans implanté sur Beaucouzé, souhaite réfléchir à son avenir : investissements dans le bâtiment et mise en place d’activités complémentaires sont à étudier.
Les porteurs du projet
La Ferme Angevine est un point de vente qui permet à 22 exploitations agricoles du Maine-et-Loire d’assurer tout ou partie de leur commercialisation en direct. Le magasin est ouvert le vendredi après-midi et le samedi matin. Le bâtiment jusqu’à présent loué par le collectif est en vente et le collectif envisage son rachat. Au-delà du rachat du bâtiment, des travaux sont à envisager pour améliorer la circulation et le stationnement ainsi que le bâtiment en tant que tel.
L'accompagnement proposé
Au démarrage de l’accompagnement, une réponse de principe a été faite au propriétaire, un premier chiffrage des investissements a été réalisé et une rencontre a été faite avec les services de la collectivité au sujet du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal.
L’accompagnement de 35 jours réalisé par la Chambre d’Agriculture et la CCI a tout d’abord appuyé le collectif dans sa réflexion sur l’achat du bâtiment au travers de rencontres avec les services et les élus de la collectivité. L’achat du bâtiment a induit un besoin de changement de statut de la Ferme Angevine, le collectif a ainsi pu être accompagné sur le sujet ainsi que sur la révision du règlement intérieur. Les aménagements du bâtiment et du parking ont également fait l’objet d’un accompagnement. La communication et la stratégie d’augmentation de la clientèle ont pu être travaillées notamment au travers de la construction d’un argumentaire dédié aux comités d’entreprises. Enfin, une recherche de financement a été menée.
LA FIN DE L’ACCOMPAGNEMENT
Le projet est aujourd’hui dans une phase transitoire. Les travaux d’aménagement à l’intérieur du bâtiment devraient démarrer sur le premier trimestre 2021. Du retard a été pris avec la crise COVID, entrainant l’attente de la validation du PLUi pour continuer les travaux extérieurs notamment ainsi qu’une potentielle extension au bâtiment. Pour le financement, le collectif souhaitera privilégier des financements classiques pour le gros œuvre et du crowdfunding pour des aménagements peu couteux et visibles de la clientèle.